Ce week-end, Luchon Mag me consacre un article :)
Ce week-end, notre chroniqueur littéraire Robert Linas nous fait découvrir Céline Monchoux, une auteure-illustratrice jeunesse dont sa première publication remonte à 2004.
Céline Monchoux |
Depuis combien de temps exercez-vous une activité d’auteure ?
Ma première publication date de 2004, mais je n’y travaille vraiment que depuis 2012. Au début, c’est très difficile de se lancer, d’acquérir la confiance des éditeurs et de se faire connaitre des lecteurs. C’est pourquoi je remercie l’association 7 à Lire et son action pour promouvoir les jeunes auteurs. Aujourd’hui c’est plus facile, les éditeurs avec lesquels j’ai collaboré me recontactent pour me proposer de nouveaux projets et c’est une belle reconnaissance.
Quelles sont vos différentes publications ?
J’ai la chance d’avoir plusieurs cordes à mon arc. Ma formation initiale étant celle d’enseignante, c’est sous la casquette de pédagogue que j’ai décroché mes premières publications pour du scolaire ou du parascolaire avec de beaux éditeurs comme Sedrap, Retz, Averbode ou Milan. Mais je suis aussi intéressée par l’écriture et le dessin, et j’avais très envie de m’adresser aux petits enfants à travers des histoires amusantes ou poétiques. Les éditions du Coprin m’ont donné cette chance en éditant ma première histoire « Badine à l’école des sorcières ». Puis, sur les salons, j’ai rencontré d’autres auteurs qui ont aimé mon travail et m’ont proposé des collaborations. C’est ainsi que j’ai découvert les joies du travail en tandem. J’ai depuis illustré une dizaine de textes pour l’éditeur MK67-Mon Kamishibaï qui, comme son nom l’indique, édite des kamishibaï. C’est super parce que ces titres sont aussi adaptés en spectacles pour les tout-petits !
Sur quoi travaillez-vous en ce moment ?
Je collabore depuis quelques mois avec un éditeur atypique : Wakatoon. Grâce à son application, il transforme les coloriages des enfants en dessins animés ! J’ai donc créé mes premiers coloriages, et aussi dû apprendre à rédiger des scénarii. Un premier titre « Le Père Noël est en retard » est déjà disponible, et d’autres sont en cours de réalisation. J’adore ce procédé qui met en valeur le travail des enfants et les incite ainsi à donner le meilleur d’eux-mêmes.
Êtes-vous souvent amenée à rencontrer les lecteurs ?
Tout à fait ! Il y a les salons du livre dont j’ai déjà parlé, ainsi que les dédicaces en librairies, bien sûr. J’interviens aussi dans les écoles pour présenter mon travail en tant qu’auteur-illustrateur et parler de la chaîne du livre. Je propose également des animations kamishibaï, et depuis peu des ateliers Wakatoon. C’est très ludique ! Les enfants colorent les planches d’un dessin animé qui est visionné en fin de séance. J’invite ceux qui veulent découvrir cet atelier à venir nous rejoindre au salon du livre de Saint Lys les 19 et 20 novembre prochain.
Propos recueillis par Robert Linas
On trouve cet article ici :
http://www.luchonmag.com/Chronique-litteraire-rencontre-avec-Celine-Monchoux-auteure-illustratrice-jeunesse_a4236.html
Ma première publication date de 2004, mais je n’y travaille vraiment que depuis 2012. Au début, c’est très difficile de se lancer, d’acquérir la confiance des éditeurs et de se faire connaitre des lecteurs. C’est pourquoi je remercie l’association 7 à Lire et son action pour promouvoir les jeunes auteurs. Aujourd’hui c’est plus facile, les éditeurs avec lesquels j’ai collaboré me recontactent pour me proposer de nouveaux projets et c’est une belle reconnaissance.
Quelles sont vos différentes publications ?
J’ai la chance d’avoir plusieurs cordes à mon arc. Ma formation initiale étant celle d’enseignante, c’est sous la casquette de pédagogue que j’ai décroché mes premières publications pour du scolaire ou du parascolaire avec de beaux éditeurs comme Sedrap, Retz, Averbode ou Milan. Mais je suis aussi intéressée par l’écriture et le dessin, et j’avais très envie de m’adresser aux petits enfants à travers des histoires amusantes ou poétiques. Les éditions du Coprin m’ont donné cette chance en éditant ma première histoire « Badine à l’école des sorcières ». Puis, sur les salons, j’ai rencontré d’autres auteurs qui ont aimé mon travail et m’ont proposé des collaborations. C’est ainsi que j’ai découvert les joies du travail en tandem. J’ai depuis illustré une dizaine de textes pour l’éditeur MK67-Mon Kamishibaï qui, comme son nom l’indique, édite des kamishibaï. C’est super parce que ces titres sont aussi adaptés en spectacles pour les tout-petits !
Sur quoi travaillez-vous en ce moment ?
Je collabore depuis quelques mois avec un éditeur atypique : Wakatoon. Grâce à son application, il transforme les coloriages des enfants en dessins animés ! J’ai donc créé mes premiers coloriages, et aussi dû apprendre à rédiger des scénarii. Un premier titre « Le Père Noël est en retard » est déjà disponible, et d’autres sont en cours de réalisation. J’adore ce procédé qui met en valeur le travail des enfants et les incite ainsi à donner le meilleur d’eux-mêmes.
Êtes-vous souvent amenée à rencontrer les lecteurs ?
Tout à fait ! Il y a les salons du livre dont j’ai déjà parlé, ainsi que les dédicaces en librairies, bien sûr. J’interviens aussi dans les écoles pour présenter mon travail en tant qu’auteur-illustrateur et parler de la chaîne du livre. Je propose également des animations kamishibaï, et depuis peu des ateliers Wakatoon. C’est très ludique ! Les enfants colorent les planches d’un dessin animé qui est visionné en fin de séance. J’invite ceux qui veulent découvrir cet atelier à venir nous rejoindre au salon du livre de Saint Lys les 19 et 20 novembre prochain.
Propos recueillis par Robert Linas
On trouve cet article ici :
http://www.luchonmag.com/Chronique-litteraire-rencontre-avec-Celine-Monchoux-auteure-illustratrice-jeunesse_a4236.html
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