La dépêche consacre un article aux trophées de l'eau :
"Quatre Toulousains ont remporté les
Trophées de l'eau 2012. Par le biais de sept univers artistiques, ils
ont donné chacun leur interprétation de la Déclaration de l'ONU du 28
juillet 2010.
Valentin Herranz-Pevere, 9 ans et demi, est l'un des quatre gagnants des Trophées de l'eau 2012. Récompensé dans la catégorie jeune public, ce collégien Tarnais a écrit sous forme de conte un récit dans lequel l'eau vient à manquer sur la planète : « Ce récit nommé, « Le cauchemar de Matteau » raconte le rêve d'un petit garçon qui découvre que la terre n'a plus d'eau. Quand il se réveille de son cauchemar, il se précipite au robinet ». Il ajoute : « C'est pour cela qu'il ne faut pas pleurer quand il pleut ».
Valentin n'est pas le seul à avoir été séduit par ce concours auquel 110 candidats ont participé, et pour lequel il s'agissait de traduire en langage artistique la résolution sur l'eau adoptée par l'ONU le 28 juillet 2010, comme bien fondamental de l'humanité. Parmi eux, quatre Toulousains. Céline Monchoux, 37 ans, écrit des contes pour enfant : « En voyant un article sur ce concours, j'ai immédiatement eu envie d'y participer avec mes trois enfants de 13,10 et 8 ans. Après avoir imaginé que toute l'eau de la planète était détenue par une seule personne, on a écrit, « Pourquoi la Terre est-elle bleue ? », la légende du Seigneur Typhon qui,en provoquant la destruction de la montagne géante, libéra toute l'eau du monde. Ce qui donna à la Terre sa couleur bleue.
bienfaits et méfaits
Autre expression, celle d'Alexandra Brihoum, designer. En réalisant une très belle sculpture en latex formée de plusieurs mains tendues en corolle vers le ciel, l'eau devient un don : « Pour avoir beaucoup voyagé, j'ai vu les bienfaits de l'eau mais aussi ses méfaits. Cette sculpture appelée Eclôsion place l'eau au centre de toutes les préoccupations ». Lilian Coquillaud , lui, a placé le sujet dans l' univers de BD : « J'ai plutôt l'habitude des thèmes fantastiques. En participant à ce concours, je faisais le choix d'un scénario plutôt concret et d'une préoccupation quotidienne. Dans mon récit, « Les peuples oubliés », je parle à la fois de l'eau et du désarroi d'un voyageur perdu dans le désert du Yémen qui d'un coup, comprend l'importance vitale de ce liquide ». Enfin ce n'est pas le graff de Rodolphe Morali, de la société Decospray qui minimisera cet élément : une goutte d'eau au cœur de la Terre et le mot eau écrit dans toutes les langues.
Valentin Herranz-Pevere, 9 ans et demi, est l'un des quatre gagnants des Trophées de l'eau 2012. Récompensé dans la catégorie jeune public, ce collégien Tarnais a écrit sous forme de conte un récit dans lequel l'eau vient à manquer sur la planète : « Ce récit nommé, « Le cauchemar de Matteau » raconte le rêve d'un petit garçon qui découvre que la terre n'a plus d'eau. Quand il se réveille de son cauchemar, il se précipite au robinet ». Il ajoute : « C'est pour cela qu'il ne faut pas pleurer quand il pleut ».
Valentin n'est pas le seul à avoir été séduit par ce concours auquel 110 candidats ont participé, et pour lequel il s'agissait de traduire en langage artistique la résolution sur l'eau adoptée par l'ONU le 28 juillet 2010, comme bien fondamental de l'humanité. Parmi eux, quatre Toulousains. Céline Monchoux, 37 ans, écrit des contes pour enfant : « En voyant un article sur ce concours, j'ai immédiatement eu envie d'y participer avec mes trois enfants de 13,10 et 8 ans. Après avoir imaginé que toute l'eau de la planète était détenue par une seule personne, on a écrit, « Pourquoi la Terre est-elle bleue ? », la légende du Seigneur Typhon qui,en provoquant la destruction de la montagne géante, libéra toute l'eau du monde. Ce qui donna à la Terre sa couleur bleue.
bienfaits et méfaits
Autre expression, celle d'Alexandra Brihoum, designer. En réalisant une très belle sculpture en latex formée de plusieurs mains tendues en corolle vers le ciel, l'eau devient un don : « Pour avoir beaucoup voyagé, j'ai vu les bienfaits de l'eau mais aussi ses méfaits. Cette sculpture appelée Eclôsion place l'eau au centre de toutes les préoccupations ». Lilian Coquillaud , lui, a placé le sujet dans l' univers de BD : « J'ai plutôt l'habitude des thèmes fantastiques. En participant à ce concours, je faisais le choix d'un scénario plutôt concret et d'une préoccupation quotidienne. Dans mon récit, « Les peuples oubliés », je parle à la fois de l'eau et du désarroi d'un voyageur perdu dans le désert du Yémen qui d'un coup, comprend l'importance vitale de ce liquide ». Enfin ce n'est pas le graff de Rodolphe Morali, de la société Decospray qui minimisera cet élément : une goutte d'eau au cœur de la Terre et le mot eau écrit dans toutes les langues.
Le chiffre : 2 500 €
de chèque > pour les lauréats des Trophées de l'eau 2012. Ce chèque doit leur permettre de financer leurs prochaines créations artistiques. De plus, pour les faire connaître du grand public, l'agence de l'eau met en valeur les œuvres primées.Année de l'eau
110 candidats venus de tout le Grand Sud-Ouest ont participé à cette 5ème édition des Trophées de l'eau 2012 mise en place par l'Agence de l'eau, Adour-Garonne et articulée autour d'un jury de sept artistes mobilisés autour de l'eau. Une édition assez exceptionnelle puisqu'elle s'est déroulée durant l'année Européenne de l'eau, de l'année de la Garonne pour Toulouse et de la tenue du Forum de l'eau à Marseille. Sept expressions artistiques étaient au cœur de ce concours qui s'est déroulé de décembre 2011 à février 2012 : film, vidéo, bande dessinée, slam, graff, objet et conte pour enfant. Plusieurs artistes ont parrainé ce concours. Pour la catégorie slam, c'est l'artiste toulousain Mahdi Serié.
Silvana Grasso"
On le trouve ici :
http://www.ladepeche.fr/article/2012/03/23/1312722-les-trophees-de-l-eau-inspirent-les-toulousains.html
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